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Dans l’atelier silencieux, la explication des chandelles projetait des obscurités mouvantes sur les étoffes suspendues. Le dernier tissu qu’elle avait tissé, avec ses icônes révélateurs, semblait presque pervibrer sous son regard. La tisserande savait que tout fabrication était porteur d’un signal, un mystique composé dans la trame même du tissu. Pourtant, cette fois-ci, l’image qui apparaissait était plus sans ambiguité, plus insistante. Les instructions de la voyance par téléphone Clermont-Ferrand lui revinrent à l’esprit. Certains cadeaux absorbaient les pouvoirs du univers qui les entourait, et dans certains cas, ils reflétaient les matérialisations que personne ne désirait concevoir. Son étoffe ne se contentait pas de décorer les corps des reines vénitiens. Elle révélait l’inéluctable, les chemins entremêlés par la destinée lui-même. Les fils d’or formaient des arabesques qui se rejoignaient en icônes géométriques complexes. Au foyer du brocart, une silhouette se distinguait, plus marquée que mes copines. Un espèce humaine, drapé dans une cape lourde, le minois partiellement dissimulé. Elle savait que cette réprésentation était un avertissement. Les Farnese, ces seigneurs qui s’intéressaient tant à son job, voyaient en elle plus qu’une ample tisserande. Ils comprenaient que son attraction pouvait leur présenter une commodité inappréciable dans la politique et les jeux d'avoir la capacité de d'italie. La voyance par téléphone enseignait que toute clairvoyance pouvait être manipulée. Ce que l’on voyait n’était qu’un rayon d’un avenir éventuelle, et ce qui savaient l’interpréter avaient l'occasion de décréter leur futur à leur avantage. Si cette rideau révélait une peur, donc elle pouvait de plus devenir un sujet de contrôle pour celle qui chercheraient à s’emparer de son secret. Elle ne pouvait plus ignorer le poids de ce qu’elle créait. Chaque fil tissé, chaque explication composé dans ses étoffes, portait en lui un fragment de véracité, un brillance du sort. Mais entre les mains des sombres personnes, ce genie pouvait devenir une arme. La voyance Clermont-Ferrand rappelait que les personnes cherchaient à s’approprier l’avenir finissaient fréquemment par en représenter prisonniers. La tisserande savait désormais qu’elle ne semble pouvoir plus museler de nombreuses années son tendresse. Son professionnel à exagérer était devenu un divinations silencieux, et bientôt, le entourage comprendrait que le cours de la destinee était entre ses doigt.
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